Les catacombes sous Point-de-Sable laissait de nouveau entrevoir des choses horribles. Le retour pour certains dans cet endroit où ils avaient trouvé Bitul quelques mois auparavant, les faisait frémir.
Ils y avaient trouvé un puit de magepeste, qu'ils savent maintenant associés à l'un des sept vices : la colère.
Ils ont compris que les évènements à l'origine des malheurs à Point-de-Sable n'était pas dû qu'à la folie de certains êtres, mais à l'influence grandissante d'entitées supérieures.
Karzoug, Alaznist des noms venus du fond des ages qui se remettaient à résonner, notamment dans les couloirs des catacombes de la colère.
Qu'allaient trouver nos héros dans ces lieux sombres et froids ?
mardi 27 novembre 2012
lundi 26 novembre 2012
Karzoug
Après un bref repos afin de respirer après ce combat contre les chiens de Mokmurian, nos héros se dirigèrent dans ce qu'il semblait être le lieu d'habitation du chef actuel des géants de pierre.
Ils pénétrèrent dans une salle remplie de chiens de guerre. Un géant travaillait au fond de la salle. Celui ci daigna à peine lever les yeux de son ouvrage quand nos héros le hélèrent.
Puis en soupirant, il entama une discussion.
En géant puis en commun, les aventuriers cherchèrent à connaître ses motivations : pourquoi fédérer les géants afin de les mener à la guerre.
Il fut assez évasif, ne parlant que de pouvoirs, mais il leur lacha qu'il était aussi à la recherche d'une forge runique qui permettait de créer des objets de puissance.
Puis considérant la conversation terminée, il intima l'ordre à ses chiens d'attaquer tout en se préparant au combat. Il dégaina une énorme étoile du matin.
Le combat s'engagea bien vite et Belrag fut tout d'abord envouté et puis comme happé par la puissance du géant qui l'assoma dès les premiers instants.
Puis Mokmurian se jeta dans la mêlée alternant des pouvoirs de sorciers et des coups d'étoile du matin.
Enora fut bloqué dans un coin subissant les assauts d'un chien et ne pouvant s'en dépétrer.
Larien put établir un périmètre de magie divine protégeant quelques peu des coups répétés du géant, empêchant les aventuriers de sombrer dans l'inconscience.
Les chiens furent éliminés les uns après les autres.
Belrag put récupérer et se relever, Enora put s'enfuir pour prendre plus activement part au combat, Bitul, Larien et Paelion purent concentrer leurs efforts pour défaire Mokmurian.
Enfin le géant s'effondra, électrocuté par une Enora. Respirant difficilement et à grands bruits, les aventuriers tombèrent par terre, tous très fatigués. C'est alors que de manière complètement inattendue, Mokmurian se releva comme une marionnette et dit, d'une voix gutturale :
"Voici donc les héros de cet âge. Pour moi, vous n'êtes que des vers asthmatiques, qui seront bientôt écrasés quand je réveillerai les armées de Xin-Shalast et que l'on prononcera à nouveau le nom de Karzoug avec terreur et émerveillement. Sachez que la mort de ceux qui sont marqués de la rune de Sihédron - tous ces géants que vous avez eu la bonté de tuer pour moi - précipite mon retour, tout comme les vôtres le feront bientôt. Fous que vous êtes. Est-ce tout ce que vous avez réussi à faire en dix mille ans ?"
Cette voix est celle de Karzoug, le maître des runes de l'avarice. Il révèle ainsi qu'il est entrain de revenir grace aux rituels du Sihedron que Mokmurian faisait régulièrement.
Nos héros retournèrent voir Conna pour lui annoncer la bonne nouvelle et trouver un endroit où se reposer
Elle leur indiqua qu'une guerre des clans risquaient de démarrer et qu'ils fallaient absolument qu'ils restent hors de cela.
Ils n'eurent accès au trésor de Longue-Dent que tardivement, les privant d'une bonne moitié de la richesse restante. Des géants de pierre étaient venus se servir avant de filer.
Paelion entreprit de créer des objets pendant qu'Enora partit étudier dans la bibliothèque du complexe. Cette bibliothèque ne subissait pas les assauts du temps et la porte d'entrée n'apparaissait qu'à certains moments. Ce fut donc deux jours plus tard qu'Enora put enfin comprendre un petit peu qui était Karzoug et ce qu'il faisait dans cette histoire.
Karzoug était un des sept maitres des runes qui contrôlaient l'ancien empire. Cet empire était né et mort 100 siècles auparavant et personne n'en connaissait réellement l'histoire.
Toutefois les guerres qui agitaient ces royaumes laissèrent des traces jusqu'à l'époque de nos héros. Alaznist et Karzoug qui menaient une guerre de tranchée avaient construit d'immenses tours capables de surveiller les territoires voisins et le cas échéant de repousser des forces ennemis.
La tour de Point-de-Sable pouvait être un de ces vestiges.
Elle releva également qu'à l'époque des expériences furent menée, avec pour résultat des effets comparables à la magepeste.C'était peut être une voie à explorer.
Après avoir salué Conna et s'être assuré que les géants de pierre ne représentaient plus une menace pour les villes de la côte, nos héros repartirent en direction de Point-de-Sable.
Après un voyage sans encombre, ils arrivèrent au village côtier et y découvrirent qu'une partie de la ville s'était effondrée. Un trou d'une dizaine de mètres de diamètre s'était formé. >
Ils atterrirent sur l'île à coté du village et décidèrent de rencontrer les dirigeants. Le sherrif Hemlock, la mairesse Devlin et Abstalar Zanthus les reçurent au temple.
Ils écoutèrent avec attention le récit de nos héros et leur contèrent à leur tour les évènements qui étaient survenus.
L'intuition de nos héros comme quoi l'effondrement au dessus du puit des runes était dû à la mort de Mokmurian fut étayée par le dires des dirigeants. Le père Zanthus leur confirma aussi que des hurlements et des cris étaient audibles la nuit.
Le lendemain matin; Larien, Enora, Belrag, Paelion et Bitul descendirent dans le puit afin d'aller voir ce qu'il s'y passait. Les hurlements et cris avaient redoublé d'intensité cette nuit là et cela ne laissait présager rien de bon.
Ils pénétrèrent dans une salle remplie de chiens de guerre. Un géant travaillait au fond de la salle. Celui ci daigna à peine lever les yeux de son ouvrage quand nos héros le hélèrent.
Puis en soupirant, il entama une discussion.
En géant puis en commun, les aventuriers cherchèrent à connaître ses motivations : pourquoi fédérer les géants afin de les mener à la guerre.
Il fut assez évasif, ne parlant que de pouvoirs, mais il leur lacha qu'il était aussi à la recherche d'une forge runique qui permettait de créer des objets de puissance.
Puis considérant la conversation terminée, il intima l'ordre à ses chiens d'attaquer tout en se préparant au combat. Il dégaina une énorme étoile du matin.
Le combat s'engagea bien vite et Belrag fut tout d'abord envouté et puis comme happé par la puissance du géant qui l'assoma dès les premiers instants.
Puis Mokmurian se jeta dans la mêlée alternant des pouvoirs de sorciers et des coups d'étoile du matin.
Enora fut bloqué dans un coin subissant les assauts d'un chien et ne pouvant s'en dépétrer.
Larien put établir un périmètre de magie divine protégeant quelques peu des coups répétés du géant, empêchant les aventuriers de sombrer dans l'inconscience.
Les chiens furent éliminés les uns après les autres.
Belrag put récupérer et se relever, Enora put s'enfuir pour prendre plus activement part au combat, Bitul, Larien et Paelion purent concentrer leurs efforts pour défaire Mokmurian.
Enfin le géant s'effondra, électrocuté par une Enora. Respirant difficilement et à grands bruits, les aventuriers tombèrent par terre, tous très fatigués. C'est alors que de manière complètement inattendue, Mokmurian se releva comme une marionnette et dit, d'une voix gutturale :
"Voici donc les héros de cet âge. Pour moi, vous n'êtes que des vers asthmatiques, qui seront bientôt écrasés quand je réveillerai les armées de Xin-Shalast et que l'on prononcera à nouveau le nom de Karzoug avec terreur et émerveillement. Sachez que la mort de ceux qui sont marqués de la rune de Sihédron - tous ces géants que vous avez eu la bonté de tuer pour moi - précipite mon retour, tout comme les vôtres le feront bientôt. Fous que vous êtes. Est-ce tout ce que vous avez réussi à faire en dix mille ans ?"
Cette voix est celle de Karzoug, le maître des runes de l'avarice. Il révèle ainsi qu'il est entrain de revenir grace aux rituels du Sihedron que Mokmurian faisait régulièrement.
Nos héros retournèrent voir Conna pour lui annoncer la bonne nouvelle et trouver un endroit où se reposer
Elle leur indiqua qu'une guerre des clans risquaient de démarrer et qu'ils fallaient absolument qu'ils restent hors de cela.
Ils n'eurent accès au trésor de Longue-Dent que tardivement, les privant d'une bonne moitié de la richesse restante. Des géants de pierre étaient venus se servir avant de filer.
Paelion entreprit de créer des objets pendant qu'Enora partit étudier dans la bibliothèque du complexe. Cette bibliothèque ne subissait pas les assauts du temps et la porte d'entrée n'apparaissait qu'à certains moments. Ce fut donc deux jours plus tard qu'Enora put enfin comprendre un petit peu qui était Karzoug et ce qu'il faisait dans cette histoire.
Karzoug était un des sept maitres des runes qui contrôlaient l'ancien empire. Cet empire était né et mort 100 siècles auparavant et personne n'en connaissait réellement l'histoire.
Toutefois les guerres qui agitaient ces royaumes laissèrent des traces jusqu'à l'époque de nos héros. Alaznist et Karzoug qui menaient une guerre de tranchée avaient construit d'immenses tours capables de surveiller les territoires voisins et le cas échéant de repousser des forces ennemis.
La tour de Point-de-Sable pouvait être un de ces vestiges.
Elle releva également qu'à l'époque des expériences furent menée, avec pour résultat des effets comparables à la magepeste.C'était peut être une voie à explorer.
Après avoir salué Conna et s'être assuré que les géants de pierre ne représentaient plus une menace pour les villes de la côte, nos héros repartirent en direction de Point-de-Sable.
Après un voyage sans encombre, ils arrivèrent au village côtier et y découvrirent qu'une partie de la ville s'était effondrée. Un trou d'une dizaine de mètres de diamètre s'était formé. >
Ils atterrirent sur l'île à coté du village et décidèrent de rencontrer les dirigeants. Le sherrif Hemlock, la mairesse Devlin et Abstalar Zanthus les reçurent au temple.
Ils écoutèrent avec attention le récit de nos héros et leur contèrent à leur tour les évènements qui étaient survenus.
L'intuition de nos héros comme quoi l'effondrement au dessus du puit des runes était dû à la mort de Mokmurian fut étayée par le dires des dirigeants. Le père Zanthus leur confirma aussi que des hurlements et des cris étaient audibles la nuit.
Le lendemain matin; Larien, Enora, Belrag, Paelion et Bitul descendirent dans le puit afin d'aller voir ce qu'il s'y passait. Les hurlements et cris avaient redoublé d'intensité cette nuit là et cela ne laissait présager rien de bon.
mercredi 14 novembre 2012
Bande Annonce
Devant la porte de la salle où devrait se trouver Mokmurian,
Enora, Larien, Bitul, Belrag et Paelion risquent de mener un combat à mort.
Vont ils franchir afin de contrecarrer les plans d'un chef de tribus géantes, qui a promis monts et merveilles à ses ouailles ?
Mokmurian, gouvernant par la peur et la magie, se révélera t il un adversaire plus que dangereux ?
Enora, Larien, Bitul, Belrag et Paelion risquent de mener un combat à mort.
Vont ils franchir afin de contrecarrer les plans d'un chef de tribus géantes, qui a promis monts et merveilles à ses ouailles ?
Mokmurian, gouvernant par la peur et la magie, se révélera t il un adversaire plus que dangereux ?
mercredi 17 octobre 2012
Jorgenfist
Après la rencontre avec les Xorns et l'Immolith, nos héros poursuivirent dans les étroites cavernes. Ils durent s'employer pour passer une rivière qui inondait complètement une caverne, et grâce à Bitul qui s'aventura sous l'eau, ils passèrent l'autre côté.
Une odeur se fit de plus en plus sentir dans l'air, et Enora partit en éclaireur. Elle arriva dans ce qui semblait être une galerie partiellement effondrée qui était connectée avec la forteresse de Jorgenfist. La salle dans laquelle elle entra était en contact avec le messe des officiers de géants. Paelion créa une zone de silence afin que tous puissent passer sans faire de bruit.
Nos héros décidèrent de s'aventurer dans une autre zone de la forteresse.
Mais au moment où il voulait s'engager dans le passage, une géante d'un certain age arriva. Nos héros se cachèrent mais pas assez bien pour quelqu'un qui connaissait les lieux.
Toutefois elle fit signe de faire silence aux héros et leur demanda de se cacher dans le boyau : elle précédait un groupe de géants. Elle donna rendez vous aux aventuriers un peu plus loin d'ici une vingtaine de minutes afin de s'entretenir avec eux.
Plutôt confiant du fait de son attitude, ils la rencontrèrent au lieu dit. Elle leur révéla qu'elle était la femme du défunt chef du clan. Galenmir, son mari avait été tué par Mokmurian pour faciliter la prise de contrôle du clan.
Elle était tenue toutefois par la loyauté qu'elle devait afficher devant son nouveau maître.
La discussion qui s'ensuivit leur permit de savoir dans quel lieu se trouvait Mokmurian et ses alliés. Elle leur indiqua une salle de rituels dans laquelle se trouvait le bras droit de Mokmurian. Elle s'engagea à aller voir s'il y était sur le moment.
Nos héros décidèrent de couper les renforts de Mokmurian en éliminant ses alliés. Conna demanda d'épargner au maximum les géants qui ne semblaient pas être des alliés directs de Mokmurian, car comme elle, ils n'étaient pas forcément responsables de leur enrôlement et que possiblement ils pouvaient revenir à de meilleurs sentiments.
Ils se dirigèrent vers la salle des rituels une fois que Conna leur eut confirmé que Lokansir se trouvait bien dans sa salle. Ils se faufilèrent jusqu'aux portes de la salle et après avoir fait un rituel de silence, ils lancèrent l'assaut.
Ils se retrouvèrent face à 5 géants dirigés par Lokansir, un géant des collines tatoués de runes d'où émanaient de la magepeste.
Leur combat fut âpre mais nos héros purent éliminer ce bras droit très gênant.
Ils découvrirent que dans cette salle était pratiqué un rituel qui enchainait les personnes livrées à une malédiction en relation avec le Sihedron.
Ils s'enfonçèrent dans les grottes interdites aux autres géants, l'antre de Mokmurian. La première pièce était empreinte d'une magie qui eut pour effet de faire diminuer certains des membres du groupe. Deux géants plus loin étaient là pour chercher à garder la pièce. Une porte intermédiaire rendit le combat plus difficile, car les alliés de Mokmurian était capable de fermer la porte et d'ainsi isolé les combattants.
Mais harcelés par les attaques à distance, ils battirent en retraite dans une salle où des statues s'animèrent quand les héros pénétrèrent dedans.
Un peu fatigués par l'enchainement des combats, ils décidèrent de poursuivre pour ne laisser aucun répit aux forces adverses. Ils suivirent les traces des passages les plus réguliers, pour déboucher dans une salle gardée par les chiens de Mokmurian. Costauds et résistants, les chiens fatiguèrent encore un peu plus nos héros. Mais Mokmurian ne semblait plus très loin et le combat final s'annonçait périlleux...
Une odeur se fit de plus en plus sentir dans l'air, et Enora partit en éclaireur. Elle arriva dans ce qui semblait être une galerie partiellement effondrée qui était connectée avec la forteresse de Jorgenfist. La salle dans laquelle elle entra était en contact avec le messe des officiers de géants. Paelion créa une zone de silence afin que tous puissent passer sans faire de bruit.
Nos héros décidèrent de s'aventurer dans une autre zone de la forteresse.
Mais au moment où il voulait s'engager dans le passage, une géante d'un certain age arriva. Nos héros se cachèrent mais pas assez bien pour quelqu'un qui connaissait les lieux.
Toutefois elle fit signe de faire silence aux héros et leur demanda de se cacher dans le boyau : elle précédait un groupe de géants. Elle donna rendez vous aux aventuriers un peu plus loin d'ici une vingtaine de minutes afin de s'entretenir avec eux.
Plutôt confiant du fait de son attitude, ils la rencontrèrent au lieu dit. Elle leur révéla qu'elle était la femme du défunt chef du clan. Galenmir, son mari avait été tué par Mokmurian pour faciliter la prise de contrôle du clan.
Elle était tenue toutefois par la loyauté qu'elle devait afficher devant son nouveau maître.
La discussion qui s'ensuivit leur permit de savoir dans quel lieu se trouvait Mokmurian et ses alliés. Elle leur indiqua une salle de rituels dans laquelle se trouvait le bras droit de Mokmurian. Elle s'engagea à aller voir s'il y était sur le moment.
Nos héros décidèrent de couper les renforts de Mokmurian en éliminant ses alliés. Conna demanda d'épargner au maximum les géants qui ne semblaient pas être des alliés directs de Mokmurian, car comme elle, ils n'étaient pas forcément responsables de leur enrôlement et que possiblement ils pouvaient revenir à de meilleurs sentiments.
Ils se dirigèrent vers la salle des rituels une fois que Conna leur eut confirmé que Lokansir se trouvait bien dans sa salle. Ils se faufilèrent jusqu'aux portes de la salle et après avoir fait un rituel de silence, ils lancèrent l'assaut.
Ils se retrouvèrent face à 5 géants dirigés par Lokansir, un géant des collines tatoués de runes d'où émanaient de la magepeste.
Leur combat fut âpre mais nos héros purent éliminer ce bras droit très gênant.
Ils découvrirent que dans cette salle était pratiqué un rituel qui enchainait les personnes livrées à une malédiction en relation avec le Sihedron.
Ils s'enfonçèrent dans les grottes interdites aux autres géants, l'antre de Mokmurian. La première pièce était empreinte d'une magie qui eut pour effet de faire diminuer certains des membres du groupe. Deux géants plus loin étaient là pour chercher à garder la pièce. Une porte intermédiaire rendit le combat plus difficile, car les alliés de Mokmurian était capable de fermer la porte et d'ainsi isolé les combattants.
Mais harcelés par les attaques à distance, ils battirent en retraite dans une salle où des statues s'animèrent quand les héros pénétrèrent dedans.
Un peu fatigués par l'enchainement des combats, ils décidèrent de poursuivre pour ne laisser aucun répit aux forces adverses. Ils suivirent les traces des passages les plus réguliers, pour déboucher dans une salle gardée par les chiens de Mokmurian. Costauds et résistants, les chiens fatiguèrent encore un peu plus nos héros. Mais Mokmurian ne semblait plus très loin et le combat final s'annonçait périlleux...
mardi 14 août 2012
L'infiltration de JorgenFist
Aux abords de l'entrée de la caverne de Longue-Dent, nos héros perçurent des créatures gardant le lieu.
Ils tentèrent après une rapide étude des lieux de s'infiltrer dans le complexe à dos d'aigle afin de profiter d'un effet de surprise.
Las, ils furent repérés par des créatures humanoïdes qu'ils n'avaient pas vu, et celles-ci s'empressèrent de donner l'alerte.
Belrag, suivi de peu par les autres aventuriers, rentra dans la caverne.
Il fut vite établi que Longue-Dent avait été prévenu de leur arrivée au travers de l'alerte. Le combat s'engagea avec les créatures qui étaient en définitive plus gênantes que dangereuses.
Longue-Dent apparut dans toute sa puissance, et il était accompagné de "Bibiche", une chimère rouge.
Enora réussit à convaincre son aigle de rester, tous les autres s'enfuirent prestement.
Le combat tourna à l'avantage des aventuriers assez rapidement, malgré la puissance de Longue-Dent. Imerion et Larien visant en priorité le dragon et la chimère. "Bibiche" succomba également sous les coups de Bitul.
Bien qu'étant dans son repaire, Longue-Dent, désormais seul et quelque peu abattu, semblait avoir des difficultés à combattre enfermés sous terre.
Nos héros, plus petits et plus rapides, se téléportaient hors de portée des crocs du dragon.
Sur la fin du combat, Longue-Dent ordonna à ses deux derniers sbires d'aller tuer Paelion, dans une langue tribale.
Seul Enora eut des doutes concernant la destination des sbires, mais hors de position, elle ne put s'occuper d'eux.
Presque à terre, Longue-Dent proposa un marché aux aventuriers : la vie de Paelion contre la sienne. Mettant la pression pour avoir une réponse rapide, les héros se résolurent à la vie.
Longue-Dent put s'enfuir, volant lourdement du fait de ses multiples blessures. On ne le reverrait pas de sitôt, par deux fois défait par les mêmes petits humanoïdes.
Nos héros retrouvèrent Paelion, en mauvais état mais vivant. Larien lui prodigua des soins et le repos de la nuit lui permit de récupérer suffisamment pour partir à l'aventure.
Imerion veilla sur lui toute la nuit et voyant que son neveu était dorénavant hors de danger, il repartit en féérie.
Décidés à s'introduire dans la citadelle, nos héros, au travers d'un rituel réalisé par Larien, apprirent qu'un passage était accessible au niveau de la rivière coulant à côté. Ils se décidèrent à suivre le cours d'eau. Larien partit en éclaireur et faillit se faire surprendre par une troupe de géant qui avait perçu du mouvement dans le coin.
Elle réussit à s'échapper sans éveiller l'attention.
Puis longeant le bord opposé à Jorgenfist, ils entraperçurent une anfractuosité qui laissait échapper des vapeurs, signe que les galeries étaient peut être connectées.
Après quelques péripéties pour traverser le cours d'eau, ils remontèrent l'étroit boyau qui s'enfonçait dans la terre.
Dans une plus grande caverne, ils tombèrent sur des Xorns et un Immolith qui avaient élu domicile.
Bien que dangereux, ils ne représentèrent pas une si grande menace pour nos héros.
Ils tentèrent après une rapide étude des lieux de s'infiltrer dans le complexe à dos d'aigle afin de profiter d'un effet de surprise.
Las, ils furent repérés par des créatures humanoïdes qu'ils n'avaient pas vu, et celles-ci s'empressèrent de donner l'alerte.
Belrag, suivi de peu par les autres aventuriers, rentra dans la caverne.
Il fut vite établi que Longue-Dent avait été prévenu de leur arrivée au travers de l'alerte. Le combat s'engagea avec les créatures qui étaient en définitive plus gênantes que dangereuses.
Longue-Dent apparut dans toute sa puissance, et il était accompagné de "Bibiche", une chimère rouge.
Enora réussit à convaincre son aigle de rester, tous les autres s'enfuirent prestement.
Le combat tourna à l'avantage des aventuriers assez rapidement, malgré la puissance de Longue-Dent. Imerion et Larien visant en priorité le dragon et la chimère. "Bibiche" succomba également sous les coups de Bitul.
Bien qu'étant dans son repaire, Longue-Dent, désormais seul et quelque peu abattu, semblait avoir des difficultés à combattre enfermés sous terre.
Nos héros, plus petits et plus rapides, se téléportaient hors de portée des crocs du dragon.
Sur la fin du combat, Longue-Dent ordonna à ses deux derniers sbires d'aller tuer Paelion, dans une langue tribale.
Seul Enora eut des doutes concernant la destination des sbires, mais hors de position, elle ne put s'occuper d'eux.
Presque à terre, Longue-Dent proposa un marché aux aventuriers : la vie de Paelion contre la sienne. Mettant la pression pour avoir une réponse rapide, les héros se résolurent à la vie.
Longue-Dent put s'enfuir, volant lourdement du fait de ses multiples blessures. On ne le reverrait pas de sitôt, par deux fois défait par les mêmes petits humanoïdes.
Nos héros retrouvèrent Paelion, en mauvais état mais vivant. Larien lui prodigua des soins et le repos de la nuit lui permit de récupérer suffisamment pour partir à l'aventure.
Imerion veilla sur lui toute la nuit et voyant que son neveu était dorénavant hors de danger, il repartit en féérie.
Décidés à s'introduire dans la citadelle, nos héros, au travers d'un rituel réalisé par Larien, apprirent qu'un passage était accessible au niveau de la rivière coulant à côté. Ils se décidèrent à suivre le cours d'eau. Larien partit en éclaireur et faillit se faire surprendre par une troupe de géant qui avait perçu du mouvement dans le coin.
Elle réussit à s'échapper sans éveiller l'attention.
Puis longeant le bord opposé à Jorgenfist, ils entraperçurent une anfractuosité qui laissait échapper des vapeurs, signe que les galeries étaient peut être connectées.
Après quelques péripéties pour traverser le cours d'eau, ils remontèrent l'étroit boyau qui s'enfonçait dans la terre.
Dans une plus grande caverne, ils tombèrent sur des Xorns et un Immolith qui avaient élu domicile.
Bien que dangereux, ils ne représentèrent pas une si grande menace pour nos héros.
vendredi 3 août 2012
Longue-Dent
Nos héros, prêt à tout pour libérer l'un d'entre eux, se retrouvent face à un plateau où près de 300 géants de pierre sont sur le pied de guerre. Sept clans se préparent dans et autour de la forteresse de Jorgenfist.
Sur le flan du volcan, une caverne semble se dessiner. De la fumée d'origine volcanique s'en échappe.
Paelion, manifestement encore en vie, est quelque part par là d'après les rituels de nos magiciens.
Toutefois, les promesses du dragon ont grandement compromis ses chances de survie.
Il faut le trouver avant qu'il ne lui arrive malheur....
Point de sable envahie
Nos héros décidèrent cette nuit là de veiller afin de sécuriser le village.
Au petit matin, les géants passèrent à l'attaque. Bien que de taille imposante, ils réussirent à surprendre le village.
Ce fut une attaque décousue.
Tout d'abord quelques géants attaquèrent la porte est, mais ils furent contenus par nos héros et par les gardes de la ville.
D'autres s'infiltrèrent dans la par le sud de la ville. La rivière ne représentait pas une grande protection pour des géants. Ils s'attaquèrent à des immeubles. Ils cherchaient à manger et pillaient tout ce qu'ils pouvaient.
Une autre attaque se dessina à l'ouest de la ville, manifestement pillant les manoirs sur la colline.
Nos héros décidèrent d'intervenir au sud. C'est à ce moment qu'ils virent un dragon rouge survoler la ville. Enora chercha pendant tout le reste du combat à lui faire comprendre que ce n'était pas digne d'un animal de son statut de combattre auprès de géant, mais le dragon ne montra pas de baisse dans sa détermination à attaquer la ville.
Une fois les géants de l'est vaincu, ils se dirigèrent vers le sud. Bitul s'infiltrant dans la ville s'aperçut que Fruckriss et un géant rapportaient une pierre de la taille d'une grosse citrouille, dont leur courses au travers de Point de Sable était couvert par le dragon rouge, Longue-Dent. La pierre provenait manifestement de la tour détruite qui surplombait la ville.
C'est à ce moment que les aventuriers se concertant du regard décidèrent de ne pas laisser passer cela.
Paelion suivit des autres prit la décision d'intercepter cette troupe.
Paelion se téléportant sur leur chemin de fuite, les attaqua avec tous ses envoutements afin de les ralentir, pendant que Bitul, Belrag, Enora et Larien harcelèrent Fruckriss.
Finalement, ils réussirent à récupérer la pierre. Longue-Dent fou de rage promis à Paelion une mort lente et douloureuse s'il ne se poussait pas, mais Paelion dans toute son abnégation tint bon.
Les derniers géants s'enfuirent, mais Longue-Dent réussit à acculer Paelion dans un coin de la forêt qui n'eut qu'un répit de courte durée grâce à une illusion. Las le dragon en trouva la faille au bout de 30 secondes et emporta Paelion dans les airs sans que ses amis ne puissent intervenir... Un message de détresse magique fut émis au moment même où Paelion était enlevé. Enora put le percevoir et sentir sa puissance.
Ils décidèrent de tenter de suivre le dragon à dos d'aigle, mais celui-ci se révéla plus rapide que leur monture. Ils le perdirent au bout de 3h de poursuite.
Bitul, resté à la ville, enterra la pierre dans un endroit secret.
Toutefois ils eurent une information sur la direction vers laquelle ils avaient une chance de retrouver Paelion.
Il fallait faire vite.
Peu de temps après, un homme apparut au centre de la ville. Cet eladrin, demanda à parler aux héros. Il se présenta comme étant un membre de la garde royale Eladrine, membre protecteur de Paelion. Nos héros ne lui firent pas confiance au premier abord, mais à force de persuasion, il se vit confier la pierre pour analyse.
Pendant ce temps, certains de nos héros parcoururent la ville en quête d'informations sur les montagnes où Paelion avait pu être emporté. Ils apprirent que les dragons rouges aimaient à vivre dans des zones chaudes et notamment près des volcans.
Un cartographe de Point de Sable leur donna une carte d'une zone montagneuse et grâce à des rituels de Larien, ils connurent l'endroit exact de l'emplacement de Paelion (qui semblait encore en vie)
Un autre rituel lui révéla que Longue-Dent ne semblait pas seul dans sa caverne. Des créatures humanoïdes y vivaient également mais semblaient apeurés à l'approche du maître de ces lieux.
Ils passèrent la soirée à se préparer, puis allèrent se coucher. Mais au petit matin, ils eurent la déconvenue de s'apercevoir que l'éladrin avait disparu avec la pierre. Très énervée, Enora jura de retrouver celui qui leur avait fait ce coup.
Un mage de guerre éladrin se présenta aux aventuriers comme l'oncle de Paelion, vers 11h du matin.
La confiance fut dure à acquérir, mais il y parvint, accompagnant les héros à la rescousse de Paelion.
Ils décollèrent vers midi, en direction des montagnes du sud.
Ils arrivèrent au bout d'une journée, dans la zone montagneuse indiquée sur la carte, mais qui n'était pas complète.
Ils atteignirent des bâtisses gigantesques au pied d'une montagne qui faisait office de poste frontière dans lequel des géants de pierre s'activaient.
Les aventuriers décidèrent de laisser ce poste derrière eux et de voler vers le sommet de la montagne. Il s'avéra que cette montagne était d'origine volcanique.
A mi-parcours, un plateau se dessina. Enora partit en reconnaissance et vit sur ce plateau, une énorme forteresse, entourée de campement de géants de pierre. Partout les géants montraient des signes de préparation à la guerre.
Dans la forteresse, elle distingua aussi des préparatifs, mais moins d'agitation.
Elle eut l'impression d'être détectée et rejoignit ses compagnons.
En quête d'une caverne ou d'un endroit chaud, ils montèrent au sommet de la montagne qui se révéla être un volcan.
Une inspection de la cuvette ne permit pas de détecter de présence de dragons.
Mais en redescendant en direction de la forteresse, ils s'aperçurent qu'une caverne surplombant le plateau semblait habitée. L'heure de la délivrance approchait.
Au petit matin, les géants passèrent à l'attaque. Bien que de taille imposante, ils réussirent à surprendre le village.
Ce fut une attaque décousue.
Tout d'abord quelques géants attaquèrent la porte est, mais ils furent contenus par nos héros et par les gardes de la ville.
D'autres s'infiltrèrent dans la par le sud de la ville. La rivière ne représentait pas une grande protection pour des géants. Ils s'attaquèrent à des immeubles. Ils cherchaient à manger et pillaient tout ce qu'ils pouvaient.
Une autre attaque se dessina à l'ouest de la ville, manifestement pillant les manoirs sur la colline.
Nos héros décidèrent d'intervenir au sud. C'est à ce moment qu'ils virent un dragon rouge survoler la ville. Enora chercha pendant tout le reste du combat à lui faire comprendre que ce n'était pas digne d'un animal de son statut de combattre auprès de géant, mais le dragon ne montra pas de baisse dans sa détermination à attaquer la ville.
Une fois les géants de l'est vaincu, ils se dirigèrent vers le sud. Bitul s'infiltrant dans la ville s'aperçut que Fruckriss et un géant rapportaient une pierre de la taille d'une grosse citrouille, dont leur courses au travers de Point de Sable était couvert par le dragon rouge, Longue-Dent. La pierre provenait manifestement de la tour détruite qui surplombait la ville.
C'est à ce moment que les aventuriers se concertant du regard décidèrent de ne pas laisser passer cela.
Paelion suivit des autres prit la décision d'intercepter cette troupe.
Paelion se téléportant sur leur chemin de fuite, les attaqua avec tous ses envoutements afin de les ralentir, pendant que Bitul, Belrag, Enora et Larien harcelèrent Fruckriss.
Finalement, ils réussirent à récupérer la pierre. Longue-Dent fou de rage promis à Paelion une mort lente et douloureuse s'il ne se poussait pas, mais Paelion dans toute son abnégation tint bon.
Les derniers géants s'enfuirent, mais Longue-Dent réussit à acculer Paelion dans un coin de la forêt qui n'eut qu'un répit de courte durée grâce à une illusion. Las le dragon en trouva la faille au bout de 30 secondes et emporta Paelion dans les airs sans que ses amis ne puissent intervenir... Un message de détresse magique fut émis au moment même où Paelion était enlevé. Enora put le percevoir et sentir sa puissance.
Ils décidèrent de tenter de suivre le dragon à dos d'aigle, mais celui-ci se révéla plus rapide que leur monture. Ils le perdirent au bout de 3h de poursuite.
Bitul, resté à la ville, enterra la pierre dans un endroit secret.
Toutefois ils eurent une information sur la direction vers laquelle ils avaient une chance de retrouver Paelion.
Il fallait faire vite.
Peu de temps après, un homme apparut au centre de la ville. Cet eladrin, demanda à parler aux héros. Il se présenta comme étant un membre de la garde royale Eladrine, membre protecteur de Paelion. Nos héros ne lui firent pas confiance au premier abord, mais à force de persuasion, il se vit confier la pierre pour analyse.
Pendant ce temps, certains de nos héros parcoururent la ville en quête d'informations sur les montagnes où Paelion avait pu être emporté. Ils apprirent que les dragons rouges aimaient à vivre dans des zones chaudes et notamment près des volcans.
Un cartographe de Point de Sable leur donna une carte d'une zone montagneuse et grâce à des rituels de Larien, ils connurent l'endroit exact de l'emplacement de Paelion (qui semblait encore en vie)
Un autre rituel lui révéla que Longue-Dent ne semblait pas seul dans sa caverne. Des créatures humanoïdes y vivaient également mais semblaient apeurés à l'approche du maître de ces lieux.
Ils passèrent la soirée à se préparer, puis allèrent se coucher. Mais au petit matin, ils eurent la déconvenue de s'apercevoir que l'éladrin avait disparu avec la pierre. Très énervée, Enora jura de retrouver celui qui leur avait fait ce coup.
Un mage de guerre éladrin se présenta aux aventuriers comme l'oncle de Paelion, vers 11h du matin.
La confiance fut dure à acquérir, mais il y parvint, accompagnant les héros à la rescousse de Paelion.
Ils décollèrent vers midi, en direction des montagnes du sud.
Ils arrivèrent au bout d'une journée, dans la zone montagneuse indiquée sur la carte, mais qui n'était pas complète.
Ils atteignirent des bâtisses gigantesques au pied d'une montagne qui faisait office de poste frontière dans lequel des géants de pierre s'activaient.
Les aventuriers décidèrent de laisser ce poste derrière eux et de voler vers le sommet de la montagne. Il s'avéra que cette montagne était d'origine volcanique.
A mi-parcours, un plateau se dessina. Enora partit en reconnaissance et vit sur ce plateau, une énorme forteresse, entourée de campement de géants de pierre. Partout les géants montraient des signes de préparation à la guerre.
Dans la forteresse, elle distingua aussi des préparatifs, mais moins d'agitation.
Elle eut l'impression d'être détectée et rejoignit ses compagnons.
En quête d'une caverne ou d'un endroit chaud, ils montèrent au sommet de la montagne qui se révéla être un volcan.
Une inspection de la cuvette ne permit pas de détecter de présence de dragons.
Mais en redescendant en direction de la forteresse, ils s'aperçurent qu'une caverne surplombant le plateau semblait habitée. L'heure de la délivrance approchait.
mardi 24 avril 2012
Bande annonce
Point de sable était sous la menace d'une rumeur d'attaque imminente de Géants de Pierre. Les visions l'avaient établis, les dires de Kap semblaient les étayer.
Kap Carleoni avait joint son contact mais celui-ci ne pouvait venir au rendez vous : Fruckkriss, le nain pestiféré, était apparemment sur une opération militaire.
L'oiseau mécanique, qui lui avait été envoyé, avait donné une vague direction de la position de leur campement. Mais aucune certitude ne pouvait être établie quant à l'imminence d'une attaque.
Nos héros réussiront ils à déjouer les plans de Mokmurian et de son armée de Géants de Pierre ?
Kap Carleoni avait joint son contact mais celui-ci ne pouvait venir au rendez vous : Fruckkriss, le nain pestiféré, était apparemment sur une opération militaire.
L'oiseau mécanique, qui lui avait été envoyé, avait donné une vague direction de la position de leur campement. Mais aucune certitude ne pouvait être établie quant à l'imminence d'une attaque.
Nos héros réussiront ils à déjouer les plans de Mokmurian et de son armée de Géants de Pierre ?
jeudi 5 avril 2012
Les Couteaux Enflammés
Puis au travers d'un puissant rituel de localisation des personnes, Paellion détecta la position exacte du capitaine du navire qui les avait emmenés sur l'archipel.
Ils se rendirent compte que celui ci se dirigeait vers l'auberge des couteaux enflammés.
Ils enfourchèrent leurs aigles pour traverser la ville d'un coup d'aile. Ils se posèrent devant l'auberge.
Des archers étaient positionnés sur les toits et ils décochèrent leurs traits mortels dès que les héros se posèrent.
Des assassins et des hommes d'arme se précipitèrent pour les coincer et les isoler. Une sorcière se mêla à la bataille et Kap Carléoni se attaqua depuis l'intérieur de l'auberge.
Les sorts de Paellion engouffrant les adversaires dans des linceuls de flamme, la hache tournoyante de Belrag, la détermination de Bitul à tuer les archers, la volonté d'Enora a éradiqué la sorcière et les traits de Larien cumulés à ses pouvoirs divins eurent tôt fait d'obliger Kap Carléoni a tenté de fuir.
Mais les grandes foulées de Bitul l'empêchèrent de s'éclipser. Kap tenta de se faire sauver par la garde qui arrivait, mais Enora leur demanda de détourner les yeux de leurs agissements, car au nom de l'ordre, ils arrêtaient un criminel.
Les gardes devant la sauvagerie de la scène, dont Belrag protégeait l'accès, la bave aux lèvres, et reconnaissant le chef des couteaux enflammés, décidèrent de les laisser partir, prétextant d'être arrivé après leur départ.
Nos héros montèrent sur leurs aigles et quittèrent la ville, pour se cacher aux abords.
Ils commencèrent à interroger Kap, qui négocia sa vie contre le fait de raconter ce qu'il savait et de les aider à contacter un certain Fruckkriss, un nain pestiféré, commanditaire de l'intervention contre Ralio. Toutefois pour le contacter, Kap avait besoin de ses oiseaux mécaniques qu'il avait laissé à l'auberge.
Après de nombreuses palabres sur la méthode, ils tentèrent de s'infiltrer de nuit dans la ville qui était en état d'alerte. Ils enfourchèrent leurs aigles pour faire le tour de la ville et accéder sous le pont. Mais des patrouilles les détournèrent de leur objectif initial. Seule Enora réussir à s'infiltrer et elle décida d'aller les attendre dans la maison d'Aldern.
Les autres retournèrent à leur camp de base et décidèrent finalement de faire entrer Kap Carléoni (qui semblait coopératif) avec Larien par les portes. Larien pourrait ainsi contacter son ami dans la ville afin qu'il trouve un moyen de faire rentrer tout le monde.
Une carriole, équipée de cachettes, leur fut envoyer. Ils purent ainsi rentrer dans Port Ponant sans trop de difficultés. Ils décidèrent d'aller chercher les oiseaux mécaniques. Larien, la plus discrète réussit à s'infiltrer dans l'auberge, sévèrement gardée par les autorités. Elle échappa de peu aux gardes, mais elle parvint à récupérer la cage. Ils se retrouvèrent dans la tour de l'horloge, sous les arches de Port Ponant.
Une orpheline (Sabine) y dormait, et nos héros se mirent en tête de ne pas la laisser dans ce bâtiment vétuste et dangereux. Bitul et Enora décidèrent donc de l'emmener dès que possible.
Ils décidèrent de lacher un des oiseaux avec un message et de le suivre à dos d'aigle.
L'oiseau semblait équiper d'un mécanisme qui le faisait accélérer au fur et à mesure qu'il volait.
Seule Larien parvint à chevaucher suffisamment vite pour suivre l'oiseau pendant une dizaine de minutes, mais finalement elle le perdit de vue dans les nuages.
Ils notèrent la direction qu'il suivait et décidèrent de rentrer à Point de Sable. Il serait peut être possible de remonter jusqu'à Fruckkriss ainsi.
Bitul et Enora retournèrent dans la nuit chercher Sabine et l'emmenèrent à Point de Sable pour qu'elle est une meilleure vie.
Paellion, Belrag et Larien se rendirent directement à Point de Sable pour y passer une bonne nuit à l'auberge du Dragon rouillé.
Le lendemain, ils partirent en recherche d'un campement de Géants de Pierre, mais malgré une recherche minutieuse et systématique, ils ne décelèrent aucune trace de leur passage.
La menace semblait toute proche, mais toujours indétectable.
mercredi 29 février 2012
Larien Tinúviel
« Encore un », pensa Larien Tinúviel alors que les diacres faisaient entrer une nouvelle victime. Le temple de Sélûné où elle officiait commençait à prendre des allures d'hospice. L'Ordre de la Flamme Bleue les avait convaincu, elle et les notables de Sildëyuir, d'accueillir les pestiférés en Féérie. De ce côté du voile, la majestueuse cité de verre et la forêt aux reflets d'argent avaient été épargnées par la Magepeste. Sur le plan matériel, en revanche, la péninsule d'Aglarond avait subi le cataclysme de plein fouet. Le Bois de Yuir n'était plus qu'une friche d'épouvante corrompue par une énergie bleue vile et indomptable. Mais les nostalgiques d'une époque révolue, les chercheurs avides de richesses ou de pouvoir, les malheureux qui fuyaient les royaumes voisins, ou simplement les inconscients et les imprudents, finissaient toujours par s'y aventurer. La plupart disparaissaient ou mouraient. Les moins chanceux étaient affublés de terribles stigmates. « Celui-ci survivra, mais à quel prix », se dit la prêtresse en observant l'homme qu'on lui avait apporté. Au court de ces dernières années, on avait attribué à Larien Tinúviel de nombreux qualificatifs : étoile de Sélûné, héroïne d’Undumor, archère de Sildëyuir, ou simplement elfe aux cheveux d’argent. Mais toutes ces louanges n’y faisaient rien. Tous les faits épiques auxquels elle avait participé semblaient ne plus compter. Même ses plus grands talents de guérisseuse n’y suffisaient pas. Elle se sentait bien impuissante devant le fléau de la Magepeste.
La prêtresse chercha conseil auprès des sages de Sildëyuir, mais ne trouva aucune réponse satisfaisante. L'Ordre de la Flamme Bleue n'avait pas de réponses, ou bien estimaient-ils imprudent de les partager... Elle envoya missives et messagers dans tout Féérûne. On lui parla d’un certain Ralio de Vore qui menait des recherches à Port-Ponant. Elle communiqua par rituel avec d'autres communautés elfes et éladrines de Féérie. Dans la forêt de Gulthandor, Calénon Súrion lui rapporta des événements tragiques. Le phénomène qui sévissait en Aglarond n'était pas isolé. Partout la Magepeste étendait son influence. Puis Larien Tinúviel eut recourt à la divination et la prière pour obtenir des réponses. Et Sélûné lui répondit. Dans l'eau miroitante d’une vasque consacrée, des images lui furent révélées. Elle vit une armée de créatures hideuses, géantes, sans vie, abominables, descendre des montagnes sur des langues de Magepeste déroulées devant eux comme autant d’improbables tapis tissés des fils bleus de la corruption. Elle vit les villages et les villes des hommes dévastés. Elle vit les rivages de la Côte des Dragons recouvert du sang des massacres. Elle vit des pestiférés, encore et toujours. Elle sentit des créatures, des êtres, des choses - ou étaient-ce des dieux - se nourrir de cette haine, de ce chaos. Mais elle comprit. Elle sut quel était son destin. Elle comprit que Sélûné serait à ses côtés. Elle sut que d'autres s'étaient fixé la même mission.
C’est un soir de pleine lune, au coeur de l’hiver, que Larien Tinúviel débuta son nouveau périple, celui qui donnerait un sens à sa vie, celui qui serait peut-être le dernier. « Sélûné, mère des mondes, puisses-tu veiller sur nous, de ton clair de lune protecteur. » Après cette dernière prière, elle quitta le temple et fit ses adieux. Elle revêtit son armure bleu-argent, et sa cape azurée. Elle rangea son bréviaire et un livre de prière avec quelques autres possessions dans un petit sac de cuir. Puis elle se saisit de son arc sacré, en bois de cèdre et aux enluminures d’argent. Elle franchit les portes de Sildëyuir, quitta la Féérie, et retourna en Aglarond. S’éloignant des sombres régions infestées du Bois de Yuir, elle atteignit les villages forestiers des communautés demi-elfes. Après une courte halte, elle poursuivit vers l’ouest, vers les régions côtières des hommes. Elle entra à Veltalar quelques jours plus tard, à la levée du jour. Le manoir vert pâle des simbarches dominait la ville. Elle lui tourna le dos et se dirigea vers le port.
Il y avait plusieurs navires en partance pour Port-Ponant. L’équipage du premier était composé de malfrats associés aux Couteaux Enflammés. Le quartier maître du second tentait vivement de justifier auprès de l’autorité portuaire de la légalité de sa marchandise de contrebande. Le troisième vaisseau fut plus à sa convenance. Il appartenait à Liu Neng, un riche marchand d’origine shou. Tout l’équipage était également shou. Ils avaient l’air honnête. Malgré leurs différences, l’elfe à la peau pâle et la chevelure d’argent n’eut pas grande difficulté à embarquer parmi les orientaux au teint jaune et aux cheveux de jais. La traversée dura plus d’une semaine. Les températures étaient froides. Ils durent même plier les voiles au large de Gulthandor alors qu’une pluie de grêle s’abattit sur eux. Le reste du temps, le climat fut plus clément malgré sa rigueur hivernale, et le ciel resta dégagé. La prêtresse passa la majorité de ses soirées et une partie de ses nuits à contempler les étoiles et la lune en priant. Puis, enfin, les piliers titanesques du pont en ruines de Port-Ponant se dessinèrent à l’horizon. Cette vision qui d’ordinaire provoque l’euphorie chez un équipage de marins rentrant au port, n’ébranla pas la sérénité des shous. « Nous atteindrons nos humbles demeures avant le soleil couchant » expliqua poliment Liu Neng.
A Port-Ponant, Larien s’installa dans le quartier des Marches. Elle conserva des liens avec la communauté shou. Ils étaient respectés du peuple. Les agissements d’un groupe d’orientaux nommé les Neufs Epées d’Or y étaient pour beaucoup. La prêtresse se présenta ensuite aux temples principaux de la ville, prit contact avec les autorités religieuses. Plus tard, elle enquêta sur la Magepeste. On lui relata de biens sombres histoires. Et le nom de Ralio de Vore vint de nouveau à ses oreilles. On le décrivait comme un barde, un tieffelin, originaire du Néthéril à ce qu’on disait. Il était connu ici. C’était un artiste de renom, autrefois. Mais on disait qu’il avait beaucoup changé. Selon les rumeurs, il étudiait la Magepeste. Et on ne le voyait plus, on disait qu’il avait quelque chose à cacher. En mentionnant son nom, l’elfe failli s’attirer les foudres de ses amis shous. En effet, les Neufs Epées d’Or s’opposaient publiquement aux exactions des Couteaux Enflammés, et ce Ralio de Vore semblait s’en être acoquiné. L’archère de Sildëyuir dut alors user de diplomatie, de discrétion et de ruse, pour parvenir enfin à rencontrer le barde néthérisse. L’entrevue fut de courte durée. Le tieffelin disait craindre pour sa vie, mais il ne s’expliqua pas tellement davantage. Il demanda simplement « Trouvez les héros de Point-de-Sable », puis il disparut.
La prêtresse chercha conseil auprès des sages de Sildëyuir, mais ne trouva aucune réponse satisfaisante. L'Ordre de la Flamme Bleue n'avait pas de réponses, ou bien estimaient-ils imprudent de les partager... Elle envoya missives et messagers dans tout Féérûne. On lui parla d’un certain Ralio de Vore qui menait des recherches à Port-Ponant. Elle communiqua par rituel avec d'autres communautés elfes et éladrines de Féérie. Dans la forêt de Gulthandor, Calénon Súrion lui rapporta des événements tragiques. Le phénomène qui sévissait en Aglarond n'était pas isolé. Partout la Magepeste étendait son influence. Puis Larien Tinúviel eut recourt à la divination et la prière pour obtenir des réponses. Et Sélûné lui répondit. Dans l'eau miroitante d’une vasque consacrée, des images lui furent révélées. Elle vit une armée de créatures hideuses, géantes, sans vie, abominables, descendre des montagnes sur des langues de Magepeste déroulées devant eux comme autant d’improbables tapis tissés des fils bleus de la corruption. Elle vit les villages et les villes des hommes dévastés. Elle vit les rivages de la Côte des Dragons recouvert du sang des massacres. Elle vit des pestiférés, encore et toujours. Elle sentit des créatures, des êtres, des choses - ou étaient-ce des dieux - se nourrir de cette haine, de ce chaos. Mais elle comprit. Elle sut quel était son destin. Elle comprit que Sélûné serait à ses côtés. Elle sut que d'autres s'étaient fixé la même mission.
C’est un soir de pleine lune, au coeur de l’hiver, que Larien Tinúviel débuta son nouveau périple, celui qui donnerait un sens à sa vie, celui qui serait peut-être le dernier. « Sélûné, mère des mondes, puisses-tu veiller sur nous, de ton clair de lune protecteur. » Après cette dernière prière, elle quitta le temple et fit ses adieux. Elle revêtit son armure bleu-argent, et sa cape azurée. Elle rangea son bréviaire et un livre de prière avec quelques autres possessions dans un petit sac de cuir. Puis elle se saisit de son arc sacré, en bois de cèdre et aux enluminures d’argent. Elle franchit les portes de Sildëyuir, quitta la Féérie, et retourna en Aglarond. S’éloignant des sombres régions infestées du Bois de Yuir, elle atteignit les villages forestiers des communautés demi-elfes. Après une courte halte, elle poursuivit vers l’ouest, vers les régions côtières des hommes. Elle entra à Veltalar quelques jours plus tard, à la levée du jour. Le manoir vert pâle des simbarches dominait la ville. Elle lui tourna le dos et se dirigea vers le port.
Il y avait plusieurs navires en partance pour Port-Ponant. L’équipage du premier était composé de malfrats associés aux Couteaux Enflammés. Le quartier maître du second tentait vivement de justifier auprès de l’autorité portuaire de la légalité de sa marchandise de contrebande. Le troisième vaisseau fut plus à sa convenance. Il appartenait à Liu Neng, un riche marchand d’origine shou. Tout l’équipage était également shou. Ils avaient l’air honnête. Malgré leurs différences, l’elfe à la peau pâle et la chevelure d’argent n’eut pas grande difficulté à embarquer parmi les orientaux au teint jaune et aux cheveux de jais. La traversée dura plus d’une semaine. Les températures étaient froides. Ils durent même plier les voiles au large de Gulthandor alors qu’une pluie de grêle s’abattit sur eux. Le reste du temps, le climat fut plus clément malgré sa rigueur hivernale, et le ciel resta dégagé. La prêtresse passa la majorité de ses soirées et une partie de ses nuits à contempler les étoiles et la lune en priant. Puis, enfin, les piliers titanesques du pont en ruines de Port-Ponant se dessinèrent à l’horizon. Cette vision qui d’ordinaire provoque l’euphorie chez un équipage de marins rentrant au port, n’ébranla pas la sérénité des shous. « Nous atteindrons nos humbles demeures avant le soleil couchant » expliqua poliment Liu Neng.
A Port-Ponant, Larien s’installa dans le quartier des Marches. Elle conserva des liens avec la communauté shou. Ils étaient respectés du peuple. Les agissements d’un groupe d’orientaux nommé les Neufs Epées d’Or y étaient pour beaucoup. La prêtresse se présenta ensuite aux temples principaux de la ville, prit contact avec les autorités religieuses. Plus tard, elle enquêta sur la Magepeste. On lui relata de biens sombres histoires. Et le nom de Ralio de Vore vint de nouveau à ses oreilles. On le décrivait comme un barde, un tieffelin, originaire du Néthéril à ce qu’on disait. Il était connu ici. C’était un artiste de renom, autrefois. Mais on disait qu’il avait beaucoup changé. Selon les rumeurs, il étudiait la Magepeste. Et on ne le voyait plus, on disait qu’il avait quelque chose à cacher. En mentionnant son nom, l’elfe failli s’attirer les foudres de ses amis shous. En effet, les Neufs Epées d’Or s’opposaient publiquement aux exactions des Couteaux Enflammés, et ce Ralio de Vore semblait s’en être acoquiné. L’archère de Sildëyuir dut alors user de diplomatie, de discrétion et de ruse, pour parvenir enfin à rencontrer le barde néthérisse. L’entrevue fut de courte durée. Le tieffelin disait craindre pour sa vie, mais il ne s’expliqua pas tellement davantage. Il demanda simplement « Trouvez les héros de Point-de-Sable », puis il disparut.
mardi 21 février 2012
A l'aide !
Nos héros se reposèrent un jour au Bac-de-la-Tortue avant de repartir en direction de Point de Sable à dos d'aigle. Le voyage de trois jours se déroula tranquillement et bien que fatigués, les aigles volèrent d'une traite jusqu'à leur destination.
Ils atterrirent près de la vieille tour effondrée et très vite, les habitants leurs firent une arrivée triomphale. Les héros étaient de retour. On leur fit pleins de petits présents pour leur remercier d'avoir sauvé le village d'une invasion humanoïdes.
Dans l'assistance, Larien, une elfe étrangère au village regarda la scène avec intérêt. Elle désirait rencontrer les amis de Ralio de Vore. Ce mystérieux Tiefflin sur les traces des origines de la Magepeste lui avait conseillé de retrouver Paellion, Belrag, Bitul, Enora et NamNam. Cette rencontre avait eu lieu dans une des étroites rues de Port Ponant quelques jours auparavant.
Elle attendit que les aventuriers se soient rendus à l'auberge du dragon rouillé avant de les aborder. Ses motivations étaient claires : aider les héros à éradiquer la Magepeste qui ravageait ce monde.
Connaissant ses raisons, les héros ne firent aucune difficulté à l'intégrer à leur groupe.
Ils décidèrent de repartir le lendemain vers Port Ponant pour aider Ralio. La fête n'aurait lieu que d'ici une bonne semaine, ils avaient le temps de s'occuper de son affaire.
Ils partirent à cheval, tandis que NamNam resta pour soigner les aigles et aider le village à s'organiser.
L'atmosphère à Port Ponant n'avait pas vraiment changé depuis leur dernier passage par cette ville gigantesque. Ils prirent contact avec les Couteaux Enflammés et notamment Kap Carlonei, un des membres qu'ils avaient déjà eu l'occasion de rencontrer. Ils se retrouvèrent à la même auberge que la dernière fois.
Kap arriva au sein d'un petit groupe d'hommes d'armes. Il était flanqué de deux aides, une femme manifestement magicienne et un homme dont les qualités étaient difficilement identifiables.
Kap leur expliqua que Ralio avait peut être été enlevé par un groupe de nains sauvages et pestiférés dans le quartier du port, sans vraiment comprendre les motivations de ceux-ci. Cet évènement avait eu lieu une petite semaine auparavant, quelques jours après l'envoi de son message. Un corps de nain avait été retrouvé près du dernier endroit connu où Ralio passait du temps.
Manifestement Ralio servait d'encaisseurs de dettes impayées pour le compte des couteaux enflammés, s'étant rachetés une conduite. Les héros cherchèrent à en savoir plus, mais les réponses de Kap semblaient prouver que ces nains étaient à l'origine de cet enlèvement.
Ces nains vivaient sur une île au nord de Port Ponant, à une petite journée de bateau. Ils avaient été entassés suite à la Magepeste mais quelques membres avaient réussi à survivre malgré le fléau qui les atteignait.
L'île faisait partie d'une petite archipel sur lequel. Deux des îles étaient à l'état sauvage, deux étaient habitées par les nains pestiférés et la dernière abritait une petite ville de pêcheurs qui servait aussi de base arrière aux couteaux enflammés (d'après les dires de Kap)
Kap leur mit à disposition un petit bateau avec tout un équipage. Celui ci était composé d'un capitaine qui connaissait son affaire, d'un second qui s'avéra être un vampire et d'une équipe de matelots à la mine patibulaire. Durant le voyage, Enora sut gentiment repousser les avances d'un matelot sans déclencher de bagarres. Ce fut d'ailleurs le seul incident.
Arrivés à l'archipel, les aventuriers accostèrent sur le rivage de la première île. Un village récemment abandonné ne leur donna aucun indice sur la présence de Ralio. Ils pénétrèrent dans la forêt et atteignirent des fortifications derrière lesquelles s'étaient retranchés les nains pestiférés. Privilégiant la diplomatie à la force brutale, ils obtinrent la certitude que Ralio n'était sur aucune des deux îles. Ils repartirent et visitèrent néanmoins la seconde île sans plus de succès.
Ils décidèrent de rallier le petit port au bout de l'archipel. Les membres d'équipage changèrent le drapeau d'identification, manifestement pour indiquer que c'était des alliés.
Ils débarquèrent et se mirent en recherche d'intermédiaire, dont Kap avait donné le nom.
Après quelques recherches infructueuses, ils trouvèrent Yam yam, un pécheur qui les emmena de quartiers en quartiers. Ils arrivèrent finalement au bout d'une petite heure devant une belle demeure. Il pénétra dans la cour intérieure, suivi par les aventuriers.
Soudain, Yam yam s'enfuit, et des hommes d'armes sortirent sur la coursive surplombant la cour intérieure. Ils mirent en joue les héros et leur intimèrent l'ordre de jeter leurs armes.
Belrag n'entendit rien à cet ordre et déclencha les hostilités. Une courte lutte pendant laquelle Paelion préféra assommer ces adversaires prit place jusqu'à ce que Ralio se montra pour arrêter le combat. Il s'avança vers ces compagnons et les salua, surpris par leur présence sur cette archipel.
Enora lui montra la lettre, mais Ralio leur indiqua qu'elle n'était pas de lui. Des fautes d'orthographe et sur les noms propres émaillaient cette lettre, et qu'il savait suffisamment bien écrire pour ne pas faire ce genre d'erreurs.
Ce fut le moment choisi par les assassins pour frapper. L'attention s'était relâchée et ils n'eurent aucune difficulté pour se débarrasser de la piétaille. Puis ils combattirent les aventuriers. Malgré l'effet de surprise et la présence d'un Bodag parmi eux, ils ne purent surpasser les héros.
Un des nains assassins pestiférés s'enfuit, un autre fut épargné, .
Nos héros l'interrogèrent. Il leur révéla qu'ils étaient une petite unité d'élite qui s'était cachée dans le bateau en attendant de pouvoir assassiner Ralio ainsi que tout le groupe. Ils avaient été mandatés par Kap Carlonei car Ralio avait contracté d'immenses dettes de jeux et plutôt que de les rembourser, il s'était enfui. Kap avait fait en sorte de faire croire à son enlèvement à Port Ponant pour que les héros le cherchèrent à le retrouver. Leur amitié aurait facilité le contact avec les personnes de l'île. Ils le firent prisonnier et se partirent vers le navire sur le port.
Celui-ci avait déjà pris la mer. Larien appela des montures ailées fantomatiques et ils entreprirent de pourchasser le bateau. Quand ils le retrouvèrent, celui ci était vide, mais une magie émanait de la coque. Paellion leur intima l'ordre de quitter le navire, pensant que celui ci avait été piégé pour qu'il coula avec eux à son bord.
Ils cherchèrent aux alentours parmi les bateaux de pêcheurs et de marchands du coin. Mais leur recherche fut infructueuse. Ils retournèrent sur l'île et y passèrent la nuit pour se reposer et panser leurs blessures. Enora fortement remontée contre les Couteaux Enflammés jura à ses compagnons qu'elle allait démanteler ce clan. Tous acquiescèrent ! Les Couteaux Enflammés allaient payer leur trahison !
Ils atterrirent près de la vieille tour effondrée et très vite, les habitants leurs firent une arrivée triomphale. Les héros étaient de retour. On leur fit pleins de petits présents pour leur remercier d'avoir sauvé le village d'une invasion humanoïdes.
Dans l'assistance, Larien, une elfe étrangère au village regarda la scène avec intérêt. Elle désirait rencontrer les amis de Ralio de Vore. Ce mystérieux Tiefflin sur les traces des origines de la Magepeste lui avait conseillé de retrouver Paellion, Belrag, Bitul, Enora et NamNam. Cette rencontre avait eu lieu dans une des étroites rues de Port Ponant quelques jours auparavant.
Elle attendit que les aventuriers se soient rendus à l'auberge du dragon rouillé avant de les aborder. Ses motivations étaient claires : aider les héros à éradiquer la Magepeste qui ravageait ce monde.
Connaissant ses raisons, les héros ne firent aucune difficulté à l'intégrer à leur groupe.
Ils décidèrent de repartir le lendemain vers Port Ponant pour aider Ralio. La fête n'aurait lieu que d'ici une bonne semaine, ils avaient le temps de s'occuper de son affaire.
Ils partirent à cheval, tandis que NamNam resta pour soigner les aigles et aider le village à s'organiser.
L'atmosphère à Port Ponant n'avait pas vraiment changé depuis leur dernier passage par cette ville gigantesque. Ils prirent contact avec les Couteaux Enflammés et notamment Kap Carlonei, un des membres qu'ils avaient déjà eu l'occasion de rencontrer. Ils se retrouvèrent à la même auberge que la dernière fois.
Kap arriva au sein d'un petit groupe d'hommes d'armes. Il était flanqué de deux aides, une femme manifestement magicienne et un homme dont les qualités étaient difficilement identifiables.
Kap leur expliqua que Ralio avait peut être été enlevé par un groupe de nains sauvages et pestiférés dans le quartier du port, sans vraiment comprendre les motivations de ceux-ci. Cet évènement avait eu lieu une petite semaine auparavant, quelques jours après l'envoi de son message. Un corps de nain avait été retrouvé près du dernier endroit connu où Ralio passait du temps.
Manifestement Ralio servait d'encaisseurs de dettes impayées pour le compte des couteaux enflammés, s'étant rachetés une conduite. Les héros cherchèrent à en savoir plus, mais les réponses de Kap semblaient prouver que ces nains étaient à l'origine de cet enlèvement.
Ces nains vivaient sur une île au nord de Port Ponant, à une petite journée de bateau. Ils avaient été entassés suite à la Magepeste mais quelques membres avaient réussi à survivre malgré le fléau qui les atteignait.
L'île faisait partie d'une petite archipel sur lequel. Deux des îles étaient à l'état sauvage, deux étaient habitées par les nains pestiférés et la dernière abritait une petite ville de pêcheurs qui servait aussi de base arrière aux couteaux enflammés (d'après les dires de Kap)
Kap leur mit à disposition un petit bateau avec tout un équipage. Celui ci était composé d'un capitaine qui connaissait son affaire, d'un second qui s'avéra être un vampire et d'une équipe de matelots à la mine patibulaire. Durant le voyage, Enora sut gentiment repousser les avances d'un matelot sans déclencher de bagarres. Ce fut d'ailleurs le seul incident.
Arrivés à l'archipel, les aventuriers accostèrent sur le rivage de la première île. Un village récemment abandonné ne leur donna aucun indice sur la présence de Ralio. Ils pénétrèrent dans la forêt et atteignirent des fortifications derrière lesquelles s'étaient retranchés les nains pestiférés. Privilégiant la diplomatie à la force brutale, ils obtinrent la certitude que Ralio n'était sur aucune des deux îles. Ils repartirent et visitèrent néanmoins la seconde île sans plus de succès.
Ils décidèrent de rallier le petit port au bout de l'archipel. Les membres d'équipage changèrent le drapeau d'identification, manifestement pour indiquer que c'était des alliés.
Ils débarquèrent et se mirent en recherche d'intermédiaire, dont Kap avait donné le nom.
Après quelques recherches infructueuses, ils trouvèrent Yam yam, un pécheur qui les emmena de quartiers en quartiers. Ils arrivèrent finalement au bout d'une petite heure devant une belle demeure. Il pénétra dans la cour intérieure, suivi par les aventuriers.
Soudain, Yam yam s'enfuit, et des hommes d'armes sortirent sur la coursive surplombant la cour intérieure. Ils mirent en joue les héros et leur intimèrent l'ordre de jeter leurs armes.
Belrag n'entendit rien à cet ordre et déclencha les hostilités. Une courte lutte pendant laquelle Paelion préféra assommer ces adversaires prit place jusqu'à ce que Ralio se montra pour arrêter le combat. Il s'avança vers ces compagnons et les salua, surpris par leur présence sur cette archipel.
Enora lui montra la lettre, mais Ralio leur indiqua qu'elle n'était pas de lui. Des fautes d'orthographe et sur les noms propres émaillaient cette lettre, et qu'il savait suffisamment bien écrire pour ne pas faire ce genre d'erreurs.
Ce fut le moment choisi par les assassins pour frapper. L'attention s'était relâchée et ils n'eurent aucune difficulté pour se débarrasser de la piétaille. Puis ils combattirent les aventuriers. Malgré l'effet de surprise et la présence d'un Bodag parmi eux, ils ne purent surpasser les héros.
Un des nains assassins pestiférés s'enfuit, un autre fut épargné, .
Nos héros l'interrogèrent. Il leur révéla qu'ils étaient une petite unité d'élite qui s'était cachée dans le bateau en attendant de pouvoir assassiner Ralio ainsi que tout le groupe. Ils avaient été mandatés par Kap Carlonei car Ralio avait contracté d'immenses dettes de jeux et plutôt que de les rembourser, il s'était enfui. Kap avait fait en sorte de faire croire à son enlèvement à Port Ponant pour que les héros le cherchèrent à le retrouver. Leur amitié aurait facilité le contact avec les personnes de l'île. Ils le firent prisonnier et se partirent vers le navire sur le port.
Celui-ci avait déjà pris la mer. Larien appela des montures ailées fantomatiques et ils entreprirent de pourchasser le bateau. Quand ils le retrouvèrent, celui ci était vide, mais une magie émanait de la coque. Paellion leur intima l'ordre de quitter le navire, pensant que celui ci avait été piégé pour qu'il coula avec eux à son bord.
Ils cherchèrent aux alentours parmi les bateaux de pêcheurs et de marchands du coin. Mais leur recherche fut infructueuse. Ils retournèrent sur l'île et y passèrent la nuit pour se reposer et panser leurs blessures. Enora fortement remontée contre les Couteaux Enflammés jura à ses compagnons qu'elle allait démanteler ce clan. Tous acquiescèrent ! Les Couteaux Enflammés allaient payer leur trahison !
lundi 30 janvier 2012
Bande Annonce
En cette belle journée de fin d'hiver, nos héros se reposent un peu dans la ville du Bac de la Tortue.
Ils ont apprivoisés les aigles géants, ce qui ne lasse pas d'impressionner les habitants. Peut être même feraient ils naitre des vocations d'aventuriers aux enfants.
Cette nouvelle semble avoir attiré des elfes du coin, qui viennent, curieux, voir les dompteurs d'aigle !
Les manigances de Barl Brise-os et de Lucrécia résonnent encore : Mokmurian serait-il un maillon déterminant dans leur recherche ? Il semble que celui ci est décidé de lancer ses géants sur différents endroits, mais pour l'instant sans raison précise...
Deux messages sont arrivés ce matin.
Le premier est celui de la Mairesse Devin de Point de Sable qui invite les aventuriers à des festivités en leur honneur qui se tiendront le mois prochain.
Le second vient de Ralio de Vore, leur ancien compagnon, qui appelle à l'aide. (voir les lettres que l'on vous a envoyés)
Le voyage à dos d'aigle s'annonce rapide...
Ils ont apprivoisés les aigles géants, ce qui ne lasse pas d'impressionner les habitants. Peut être même feraient ils naitre des vocations d'aventuriers aux enfants.
Cette nouvelle semble avoir attiré des elfes du coin, qui viennent, curieux, voir les dompteurs d'aigle !
Les manigances de Barl Brise-os et de Lucrécia résonnent encore : Mokmurian serait-il un maillon déterminant dans leur recherche ? Il semble que celui ci est décidé de lancer ses géants sur différents endroits, mais pour l'instant sans raison précise...
Deux messages sont arrivés ce matin.
Le premier est celui de la Mairesse Devin de Point de Sable qui invite les aventuriers à des festivités en leur honneur qui se tiendront le mois prochain.
Le second vient de Ralio de Vore, leur ancien compagnon, qui appelle à l'aide. (voir les lettres que l'on vous a envoyés)
Le voyage à dos d'aigle s'annonce rapide...
vendredi 27 janvier 2012
La Montagne Crochue
Les héros parviennent à passer un accord avec l’oni. Ce dernier comprend l’intérêt qu’il a à collaborer avec eux, pour sa propre survie, et celle du clan ogre. Les arguments plus musclés de Bitul finissent de le convaincre. Sa mission sera de s’assurer que les ogres n’interviendront pas lors de l’inévitable affrontement avec Barl Brise-os, Lucretia, ou le groupe de sorcières allié à ces derniers. L’ogre mage leur fournit également quelques informations sur la topologie du repaire, de sorte que les héros parviennent à établit une tactique.
Faisant preuve d’un maximum de discrétion, et évitant les pièges posés dans les galeries, ils parviennent à la chambre des sorcières. Un chaudron bouillonnant témoigne du rituel d’influence sur le climat dont la région a subi les désastreux effets. Les vielles femmes hideuses accueillent les héros dans une chorale de ricanements aigus. A leurs côté, le corps sans âme de Lamatar, couvert de givre, changé en mort-vivant pestiféré, n’est plus que l’ombre de lui-même, et attaque les intrus aveuglément. Une première sorcière envoie des ronces et des épines dans les jambes ou les yeux des héros, pour les aveugler et les immobiliser. Une seconde tente de les déstabiliser ou les étourdir grâce à des enchantements psychiques. Elle maîtrise le pouvoir de la Magepeste, et utilise des pierres aux sillons bleus emplie de cette énergie corruptrice. Les autres les lacèrent de leurs griffes, les entraînant dans leur aura malsaine de décrépitude. Les compagnons ont tout d’abord quelques difficultés, et ils savent qu’ils doivent préserver leurs forces pour les combats à venir. La bataille est éprouvante et de longue haleine. Lamatar s’avère être un adversaire redoutable. Mais un à un, inexorablement, ces ennemis tombent sous les attaques martiales, primales ou arcaniques des héros.
Namnam s’intéresse aux pierres de Magepeste, et parvient avec l’aide de Paélion et Enora à en percer le secret. Extraites d’un filon rocheux imprégné de matière blue, et un fois correctement formatées par un rituel approprié, les pierres peuvent être utilisées pour produire différents effets chaotiques. En poursuivant leur exploration, les héros découvrent un ancien sanctuaire dédié à la déesse Lamashtu. Il n’a visiblement pas été utilisé depuis que Barl Brise-os a prit le pouvoir. Le mobilier qui y a été apporté récemment, ainsi qu’on petit laboratoire et quelques papiers, permettent de comprendre que Lucretia s’est maintenant approprié la pièce. Mais toujours aucun signe de la lamie… Les documents font référence à Mokmurian et son armée de géants, mentionnent un plan d’invasion qui serait déjà en marche. Il est question de la côte des dragons, et d’un lieu mystérieux appelé Jorgenfist.
Menés par Bitul, impatient d’en finir une bonne fois, le groupe arrive enfin dans la majestueuse salle à ciel ouvert où trône Barl Grise-os. Lucretia se tient devant lui, visiblement interrompue dans une discussion animée. Deux géants de pierre se tiennent à leurs côtés. Le barbare charge aussitôt, épée brandie devant lui. Les géants réagissent en lançant de gros blocs de pierre sur les héros. Belrag s’efforce de rejoindre la mêlée aussi vite que ses jambes de nains le lui permettre. Paélion, Enora et Namnam, décide de rester à la juste limite de la portée de leurs sortilèges et pouvoirs, sans s’exposer. Barl Grise-os s’avère être un nécromant accompli. Ces attaques d’énergie noire sont dévastatrices. Lucretia opte immédiatement pour sa forme naturelle, un agglomérat de scarabées, qui se regroupent en tentacules, nuages, ou projectile, servant comme d’autant d’armes sournoises à la disposition de la lamie. Cette fois, les aventuriers ne sont pas certains d’être à la hauteur. Blessures et enchantements se succèdent, et les affaiblissent rapidement. Les géants de pierre ont la peau si solide qu’elle parait inébranlable. Barl et Lucrecia semblent régénérer des moindres coups qu’on leur porte. Les héros tombent, les uns après les autres. Mais Namnam parvient à plusieurs reprises à les remettre sur pieds grâce à ses shamaniques talents de guérisseuse. Mais plus rien n’arrêterait leur détermination et leur courage. Ils se relèvent, prennent des risques et des coups, mais toujours ripostent. Quitte à y laisser la vie, chacun se battrait jusqu’au bout. Et leur acharnement finit par payer. Les géants de pierre se fissurent et se brisent sous les attaques. Puis c’est Barl Brise-os lui-même, qui à court de sortilèges et de protections, finit par périr à son tour. Se sachant vaincue, Lucrécia cherche à s’enfuir une fois de plus. Mais la manœuvre était prévisible, et les héros l’avaient anticipée. Ils parviennent à lui porter le coup fatal. Les géants sont morts. La lamie n’est plus.
Les héros retournent victorieux à fort Rannick et à la civilisation. Ils retrouvent les habitants du Bac de la Tortue, ainsi que leurs nouveaux alliés de Féérie. Dans les jours qui suivent, ils parviennent à ramener Myriana et Lamatar à la vie. Myriana s’engage à devenir la gardienne du barrage, respectant ainsi sa parole. Lamatar décide de se retirer dans la nature sauvage, et vivre son amour avec la dryade. Les menaces qui pesaient sur la région sont maintenant écartées, et le pire a été évité. La vie peut reprendre son cours, l’heure à une paisible réconstruction…
Mais bientôt de sombres nouvelles appellent les héros à de nouvelles aventures…
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